La grande famille des UR-200 prend son envol vers de nouveaux sommets : double turbine à géométrie variable, double amortisseur, système de remontage hybride. Le calibre UR-7.30 étend les ailes des possibilités mécaniques URWERK. Cette UR-230 “ Eagle ” se distingue également par une métamorphose physique dont le développement d’un boitier en carbone CTP muni d’un capot mobile. A cecis’ajoutent des lignes aérodynamiques, un profil affiné, des mensurations d’oiseau de proie. La UR-230 “ Eagle ” est un animal hautement sophistiqué, hautement désirable, éditée en série limitée à 35 exemplaires.

A cet affichage de l’heure, la UR-230 “ Eagle ” ajoute des fonctionnalités inédites. En première mondiale, URWERK a développé un ensemble d’amortisseurs destinés à protéger le nouveau calibre UR-7.30. Par le biais de turbines. Un premier set de turbine est dédié à atténuer l’impact de tout choc externe, garantissant ainsi la robustesse et la durabilité de la montre. Un deuxième jeu contrôle le flux d’air qui alimente le système de remontage. La force de cet « Air brake », destiné à moduler la puissance du remontage selon le niveau d’activité du porteur, se règle par un bouton rotatif sur ce même fond. Un second commutateur en regard du premier permet de déconnecter entièrement le rotor. La UR-230 “ Eagle” bascule alors en mode à remontage manuel. Le niveau de réglage de ces deux fonctionnalités est indiqué sous le capot en carbone CTP, à 11 h et 1h, par deux indicateurs symétriques.

Main levée, paume tournée vers l’extérieur, les doigts en V, la formule fuse : « Longue vie et prospérité ! » C’est un code connu de tous les Trekkies, presque un patrimoine culturel, un salut comme une bénédiction. Ce signe de la main fait partie intégrante de l’ADN de la marque URWERK. Il s’affiche fièrement sur les murs de l’atelier horloger de Genève. Mieux encore, il se matérialise aujourd’hui sur la platine de la nouvelle UR-120 : un affichage de l’heure qui reproduit le salut vulcain. Voici donc le nouveau défi que relèvent avec brio Felix Baumgartner et Martin Frei. « Longue vie et prospérité ! »

La dernière-née de la constellation URWERK exploite un satellite qui se dédouble. Dans le calibre UR-20.01, le carrousel central est équipé de trois bras supportant chacun un satellite. Chaque face du satellite est porteuse d’un indicateur horaire. Lorsque celui-ci sort du rail des minutes et atteint la partie gauche de la boite, il actionne un déclencheur qui commande le changement de face. Le satellite dévoile alors sa vraie nature avec une séquence cinématique inédite. Le satellite se scinde en deux. Les deux plots rectangulaires en résultant s’écartent l’un de l’autre. Ils effectuent le salut Vulcain – se mettent en formation de V – qui est la racine du surnom de la UR-120 Spock. Après cette opération, les deux plots tournent sur leur propre axe, se referment pour reformer le satellite et afficher la nouvelle unité de temps. Une triple révolution anime donc ce cadran : rotation du carrousel central portant les 3 satellites ; rotation planétaire de chaque satellite pour les maintenir en position horizontal ; rotation sur leur propre axe des plots formant le satellite.

La montre UR-100V LightSpeed ​​abrite un planétarium 3D présentant huit corps célestes de notre système solaire, huit points de référence. En partant du Soleil, Urwerk a calculé et illustré le temps nécessaire à un rayon de lumière pour atteindre chacune des planètes. Les rayons du Soleil mettent 8,3 minutes pour atteindre la Terre, tandis que le même rayon atteint la surface de Jupiter 35 minutes plus tard. Un voyage à travers l’espace et le temps avec la lumière comme support, le plus magique de tous les vaisseaux.

En plus de sa dimension interstellaire, la UR-100V LightSpeed reprend le principe d’affichage des heures
et minutes qui repose sur l’absence d’aiguilles. A leur place, un satellite se déplace le long d’un arc de cercle gradué. Le premier porte les heures, le second les minutes. Et quand un satellite des heures a
parcouru ses 60 minutes, le suivant, portant l’heure suivante, apparaît devant l’index 0 de la minute. Ce
principe extrapolé d’une pendule du XVIIe siècle, nul n’aurait imaginé qu’il puisse être pensé, transformé, transmuté, dans l’espace, le volume et le temps avec autant de créativité

Après le noir du carbone et le gris sourd du titane brut, URWERK continue d’explorer ces teintes dites froides mais qui, sous la lumière, prennent vie et éclairent l’œil averti. Plus que le travail sur la couleur, on parle ici d’une recherche sur la nuance, le reflet, la chromatique fine. La UR-100V Magic T est d’un gris métallique, lumineux, intense. Une délicatesse qui se love désormais au poignet, avec la UR-100V Magic T. Avec cette UR-100V Magic T, du boîtier au bracelet tout est titane et magique.

La UR-100V est, plus explicitement encore que toutes les autres créations URWERK, asservie à l’univers spatial. Pas seulement parce que son design peut être qualifié d’Ovni. Pas seulement parce que ses lignes inclassables sont d’une autre dimension qui dépasse les frontières de l’horlogerie actuelle. Elle porte deux longues encoches sur les flancs de son porte-satellite. Le premier est un compteur de kilomètres, ceux parcourus par la terre sur son propre axe en 20 minutes, à savoir 555. Le second est aussi un compteur de kilomètres, ceux parcourus par la terre autour du soleil durant le même laps de temps, à savoir 35 740. La UR-100V est donc un témoin de la trajectoire terrestre dans le vide intersidéral, où notre planète bleue est accompagnée d’un corps céleste couleur Magic T.

Violet! Cette magnifique teinte se situe à l’extrémité du spectre des couleurs visibles perceptibles à l’œil humain. Tout ce qui est au-delà du violet est en dehors du champ de la couleur. Le violet est la teinte ultime. Celui des battants, des outsiders, des fous. Héros ou méchants ? Cela n’a pas d’importance. Si vous avez besoin de vous faire entendre, faites-le en violet !

Munie d’un bracelet en caoutchouc, la UR-100V UltraViolet reprend les codes de la famille 100. Sur l’UR-100V, l’affichage satellite des heures et des minutes est complété par de nouvelles informations. Une fois la 60e minute écoulée atteinte, l’aiguille des minutes disparaît et réapparaît sous la forme d’un compteur kilométrique. Il illustre les 555 kilomètres parcourus toutes les 20 minutes par chaque habitant de la planète Terre. Il s’agit en fait de la vitesse moyenne de rotation de la Terre calculée à l’équateur (distance de rotation). Exactement en face apparaît la révolution de la Terre autour du soleil (distance orbitale), soit 35 740 kilomètres par 20 minutes. Sur le visage de l’UR-100V, heures et kilomètres partagent donc le même statut, la même échelle de évaluer. Ces unités s’illuminent la nuit en bleu incandescent pour les heures et en vert flamboyant pour les kilomètres.

Cette UR-100V vous parlera d’étoiles et de constellations lointaines, de beautés naissantes et de flamboyance, d’éclairs scintillants et de reflets transparents. « L’univers, dans sa globalité, est composé de particules stellaires, rendant incontournable leur présence dans toutes les formes de matière qui nous entourent. Que ce soit dans leur état brut ou transformé, du carbone aux diamants taillés, du minéral de fer à l’alliage d’acier, cette poussière d’étoiles est omniprésente. Il est fou de penser que nous, en tant qu’êtres humains, sommes également constitués de cette substance céleste. Ainsi, le surnom de Stardust, associé logiquement au sertissage de cette UR100V, s’étend aussi à la montre elle-même et à son futur possesseur » nous dit Martin Frei, directeur artistique et co-fondateur d’URWERK.

En plus de son esthétique et de son mouvement à heures vagabondes, l’UR-100V Stardust est de nature spatiale. Comme toutes les montres de la collection 100, elle arbore deux encoches le long de son porte-satellite. La première est un compteur de kilomètres représentant la distance parcourue par la Terre sur son propre axe en 20 minutes, soit 555 km. La seconde est un compteur de kilomètres indiquant la distance parcourue par la Terre autour du soleil pendant le même laps de temps, soit 35 740 km. L’UR-100V Stardust témoigne ainsi du voyage terrestre à travers le vide intersidéral, croisant des millions de soleils et reflétant leur lumière.

Main levée, paume tournée vers l’extérieur, les doigts en V, la formule fuse : « Longue vie et prospérité ! » C’est un code connu de tous les Trekkies, presque un patrimoine culturel, un salut comme une bénédiction. Ce signe de la main fait partie intégrante de l’ADN de la marque URWERK. Il s’affiche fièrement sur les murs de l’atelier horloger de Genève. Mieux encore, il se matérialise aujourd’hui sur la platine de la nouvelle UR-120 : un affichage de l’heure qui reproduit le salut vulcain. Voici donc le nouveau défi que relèvent avec brio Felix Baumgartner et Martin Frei. « Longue vie et prospérité ! »

La dernière-née de la constellation URWERK exploite un satellite qui se dédouble. Dans le calibre UR-20.01, le carrousel central est équipé de trois bras supportant chacun un satellite. Chaque face du satellite est porteuse d’un indicateur horaire. Lorsque celui-ci sort du rail des minutes et atteint la partie gauche de la boite, il actionne un déclencheur qui commande le changement de face. Le satellite dévoile alors sa vraie nature avec une séquence cinématique inédite. Le satellite se scinde en deux. Les deux plots rectangulaires en résultant s’écartent l’un de l’autre. Ils effectuent le salut Vulcain – se mettent en formation de V – qui est la racine du surnom de la UR-120 Spock. Après cette opération, les deux plots tournent sur leur propre axe, se referment pour reformer le satellite et afficher la nouvelle unité de temps. Une triple révolution anime donc ce cadran : rotation du carrousel central portant les 3 satellites ; rotation planétaire de chaque satellite pour les maintenir en position horizontal ; rotation sur leur propre axe des plots formant le satellite.